![]() Le diable de l'église de Rennes-le-Château |
![]() Le diable de l'église de Rennes-le-Château |
![]() Le diable de l'église de Rennes-le-Château |
![]() Tour néogothique Magdala
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![]() Tour néogothique Magdala |
![]() Menhir à proximité du méridien 0 de Paris |
![]() Entrée du cimetière de Rennes-le-Château |
Entrée de l'église de Rennes-le-Château |
![]() Village de Rennes-le-Château
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![]() Pech Bugarach point culminant des Corbières avec 1230 m
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![]() La fontaine des Amours près de Rennes-les Bains |
![]() Abbaye d'Alet-les-Bains
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![]() Château d'arques (environ de Rennes-le-château) |
![]() Rochers sur le pech Cardou
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![]() Fauteuil du diable
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![]() Panorama depuis Rennes-le-Château
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![]() Environ de Rennes-le-Château
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![]() Villa Béthanie |
![]() Voie celtique (environ de Rennes-le-Château)
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![]() Château de Coustaussa (environ de Rennes-le-Château)
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![]() Bas-relief de l'autel représentant Marie Madeleine |
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Carnac,
site mégalithique célèbre
mérite le détour pour le
découvrir. Le village de Carnac se situe en Bretagne dans la
région du Morbihan. Son nom signifie "lieu où se
trouve
des monticules de pierres". En effet, le visiteur de passage peut
contempler une des plus grandes concentrations de
mégalithes.
Ces menhirs ou pierres longues ont été
dressées
durant le néolithique entre 5000 et 2000 ans avant J.C.
Période où l'homme pratiquait
l'élevage et
l'agriculture. Témoins d'un lointain passé, ces
pierres dressées
continuent, silencieusement, de monter une garde immobile à
travers le
temps. Des milliers de pierres érigées couvrent
la zone de Carnac.
Certaines, sont disposées en cercle ou cromlech, d'autres,
demeurent
isolées, placides sous les ramures de vieux chênes
plusieurs fois
centenaires. Elles ont plusieurs grandeurs. Certaines, même
nous
dominent de très haut. Une grande majorité
d'entre elles, constitue des
lignes parallèles aux milieux des herbes folles, des
bruyères et des
ajoncs épineux. Beaucoup d'hypothèses ont
été écrites sur l'origine de
ces alignements, même les plus farfelus. Peut-être
que ces pierres ont
pu être dressées à l'occasion de rites
liés au cycle des saisons et du
soleil. Qu'importe, Auréolées de
mystères, elles nous interpèlent.
Un petit bémol à ajouter. Depuis 1991 des technocrates ont cru bon de dresser une cage métallique autour de ces pierres. Certes ! La fréquentation durant la saison estivale provoque un tassement du sol et des risques de déchaussement de ces pierres. Cette opération couteuse était-elle la meilleure solution ? Plutôt qu'un apport de terre végétale. Une tribune métallique a été aménagée à grand frais pour dominer le site. On pourrait se croire dans un stade pour assister à un match. Nous
sommes allés en septembre à l'aurore pour
assister au levé du soleil.
Imaginez notre déconvenue lorsque nous nous sommes
retrouvés devant
cette énorme barrière métallique qui
se dressait entre nous et les
pierres. Dans le silence de la nuit qui s'achevait sous le hululement
d'une jeune chouette hulotte, nous pensions déjà
entendre les cris de
joie de tout d'un peuple en train de dresser ces pierres à
l'aube de
l'humanité. Nous espérions ressentir une infime
parcelle d'énergie de
ces pierres dont l'énigmatique silhouette apparaissait dans
la brume
diffuse. Ce n'était que le néant ou
plutôt le contact avec nos mains du
grillage. Une lueur d'espoir naissait. Nous remarquions que la grille
était descellés en de nombreux endroits et
permettaient de nombreuses
ouvertures. On aurait dit qu'une force invisible avait fini par tordre
cette maudite grille dérisoire. Les pierres criaient-elles
leurs soifs
de liberté ! Le coeur battant, nous
décidâmes de franchir avec
précaution un des passage laissé entrouvert. Nul
sifflé de la
maréchaussée et nul éclair d'orage
pour nous foudroyer. Nous nous
sommes retrouvé à déambuler aux
milieux de ces pierres de granit que
rien ne nous séparait. Certaines nous regardaient de leurs
hautes
statures. D'autres, plus petites dépassées
à peine des ajoncs épineux.
Nous gouttions le silence et effleurions de nos mains ces pierres
dressées couvertes de lichens dont un pâle rayon
de soleil commençait à
éclairer et à réchauffer. En
vérité, une délicieuse
matinée que nous
souhaitons à tous les visiteurs.
J.C.
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La Roche-aux-fées est un dolmen, autrement dit à l'origine
un
monument funéraire constitué d'une allée couverte
par d'énormes dalles
posées sur des pierres verticales. L'ensemble était
recouvert d'un tumulus de terre et d'herbe. De nos jours, il ne reste plus que les
grosses pierres. La Roche-aux-fées se situe dans la commune
d'Essé en
Bretagne dans le département d'Ille-et-Vilaine. Il s'agit d'une
des plus anciennes constructions humaines avant même les
pyramides Egyptiennes. C'est-à-dire, durant le
néolithique, période s'étendant de 5 000 à
2 500 ans avant J.Crist. Selon les légendes, les fées auraient apporté ces lourdes pierres pour assembler ce dolmen, mais, en est-il vraiment un ? Depuis qu'un Dieu unique préside aux destinées de l'homme, les esprits de la forêt se sont retirés dans l'ombre. Se pourrait-il que ce lieu sacré et chargé d'énergies soit en fait autre chose ? Au crépuscule, certains promeneurs particulièrement attentifs croient entendre dans le bruissement du feuillage agité par le vent des rires étouffés se répercutant en échos autour des énormes blocs de pierre. Serait-ce plutôt une porte vers le monde de l'invisible ? Amis promeneurs, vous aurez peut-être la chance de l'entrouvrir. Soyez prudent tout de même. J.C. |
A 1215 m d'altitude, la silhouette du pic ou pog de Montségur se détache au milieu des Pyrénées ariègeoise |
Montségur
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Montségur
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Vestige du castrum. Au loin la ville de Lavelanet
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Donjon de Montségur
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Montségur |
Chemin de Montségur, Marches "en pas d'âne" permettant le passage des montures.
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